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Danielle Labbé s’intéresse aux possibilités d’arrimage entre transport en commun et mototaxi à Hanoï

À l’heure où Hanoï développe son réseau d’autobus et s’apprête à ouvrir sa première ligne de métro, ce sont les motos qui dominent encore le réseau routier. «Aujourd’hui, il y a dans la capitale du Viêtnam plus de motocyclettes que de ménages!» affirme Danielle Labbé.

La professeure de l’École d’urbanisme et d’architecture de paysage de l’Université de Montréal a décidé d’investiguer sur le phénomène avec Blaise Bordeleau, étudiant à la maîtrise. Sur place, ils ont constaté que la moto reste le véhicule numéro un pour une grande partie de la population. Un nouveau concept créateur d’emplois est d’ailleurs né au cours des années 90: la mototaxi. Pour quelques dôngs (monnaie vietnamienne), le chauffeur, souvent un migrant des campagnes, se faufile dans la circulation et amène rapidement l’usager à destination. «La moto présente des avantages majeurs, note Mme Labbé. Son prix est abordable et elle est adaptée aux ruelles étroites des quartiers de Hanoï ainsi qu’à la circulation dense.»

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Photo: Amélie Philibert